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Bruno ETCHENIC

Bruno ETCHENIC

Informaticien de profession, créateur du blog portail-aviation en 2012. Ancien rédacteur des actualités du magasine Air Fan

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12 Comments

  1. Anonyme

    Vu la taille du Qatar, 72 avions seraient complétement démesuré

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    1. tipi

      Singapour: 714 km2, 150 chasseurs (24 F-15, 74 F-16, plus une quarantaine de F-5)
      Taiwan: 36.000 km2, 420 chasseurs (146 F-16, 90 F-5, 57 M2000, 128 F-CK-1)
      Qatar: 11.000 km2 … 72 avions, ce serait trop ?
      C'est vrai que je me suis toujours demandé ou Singapour rangeait ses avions, mais si le Qatar atteignait la même densité d'avions de combat que Singapour ils pourraient monter à 1500 🙂

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    2. Anonyme

      Le problème c'est qu'en cas de guerre conventionnelle, il suffit de bombarder l'aéroport international de Doha, et les 72 avions sont inutilisables 😀

      Taïwan on peut difficilement comparer, ils sont sur une île isolé et ils ont un immense voisin assez agressif

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  2. James

    Comme disait un de mes collègues, avec le Rafale, le Qatar fait un Doha d'honneur à ses voisins! o:)

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  3. Chris

    Un grand merci pour cet excellent article très bien écrit.

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  4. GA_U

    Qui sont, et seront, les pilotes qataris ? Des qataris, des étrangers, éventuellement trés "francophones" ? Qu'en est-il des pilotes des autres pays de la région ?

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    1. James

      Et bien, une partie des pilotes de Mirage 2000-5 qui sont qataris.
      Pour le reste, ils trouveront bien d'autres pilotes qataris à former d'ici jusqu'aux 1er Rafale livrés.
      J'avoue que je ne vois pas trop le but de votre question.

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  5. Anonyme

    J'ai remarqué que sur certain forum on commence a appelé le Rafale le vaisseau klingon, je trouve ça très drôle. Cela est sûrement du a sont ou ces systèmes de guerre (spectra) qui le rende très discret.

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  6. source

    On oublie que ce sont des engins de guerre…

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    1. sepecat

      Eternel dilemme…
      Dans un monde idéal, la notion même d'arme n'existerait pas et leur utilisation non plus.
      A ce jour, le monde n'a rien d'idéal et le choix est relativement simple : ne pas construire / acquérir des armes, ou bien, a contrario, les construire / s'en doter auprès d'autres.
      Partant du postulat que l'on ne souhaite pas s'en servir, mais qu'il faut bien en avoir sous la main le jour où un adversaire s'avise de venir nous chercher des noises, il est alors préférable, non seulement de savoir construire (indépendance nationale), mais aussi de pouvoir vendre (amortissement des coûts).
      Détester les armes est éminemment respectable, mais je doute que la libération d'otages au Mali ou l'élimination de leurs ravisseurs par nos militaires ait pu avoir lieu si la décision de les doter d'armement n'avait pas été prise auparavant.
      Penser que l'on peut aller rechercher quelqu'un au fin fond du désert sans armes est, certes, satisfaisant sur un plan moral. C'est nettement plus probématique quant à l'exécution…

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  7. Castigu

    Ce sont aussi des emplois, et par ces temps de disette une bouffee d'oxygene …. ou de kerosene .

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  8. remy

    ce qui fait rire c’est que n’importe quel pays avec un peu d’argent peux se payer les rafales ou autres avions de guerre, mais le soucis n’est pas une question d’argent..
    le vrai soucis c’est que pour faire voler un seul de ces avions, il faut un ou deux pilote, ca c’est pas un soucis.. mais.. il faut egalement une quinzaine d’ingénieur au sol pour le faire voler..
    et la c’est pas pareil, voila pourquoi on a pas trop vu d’avion lybien pendant l’agression du pays, malgré le fait que le pays est plus de 350 avions de combat operationnel..
    ca plus le fait que l’accession au pieces detachés de ces jouets ne seront accessible au pays que a condition qu’il cire bien les pompes au pays vendeur..

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