Enfin ! Enfin le Rafale a brisé une malédiction, utilisée à tort et à travers par beaucoup de médias pour justifier leur méconnaissance de la chose, et expliquer l’inutilité de l’avion. Malheureusement pour eux, l’invendable s’est vendu, et Vangeure Masquait, artiste désormais célèbre pour les lecteurs de notre site, et commettant ses méfaits sur Facebook, nous gratifie d’une série d’image illustrant l’épopée de l’histoire commerciale de l’avion. 5 images à voir donc, mais au dixième degré. Bonne lecture !
(images de Vangeure, commentaires de Bruno)
Dans l’imaginaire collectif, Dassault Aviation, est une entreprise qui réalise des profits sur le dos du contribuable français. La réalité est bien éloigné de ce fait, mais Vangeure a réussi à bien imager cette interprétation.
Le Rafale, produit phare de l’industrie aéronautique Française (500 PME, 7 000 salariés) n’avait jusqu’alors jamais trouvé preneur à l’étranger. Beaucoup s’étaient gaussés de ces “échecs” à répétition. Mais l’avion est bon, et pas aussi cher que certains le prétendent. Les efforts commerciaux n’ont jamais été aussi important. Et voici M. Trappier, lors d’un salon aéronautique, interpellant le chaland.
Et puis, un beau matin de février, Saint Cloud, maison mère de Dassault Aviation. Dans une enveloppe livrée par camion, la surprise est arrivée gravée dans le Granit.
Bien sûr, quelques négociations auront été nécessaires, rien que pour définir les options qui équiperons les avions égyptiens.
Et normalement, d’ici cet été, le Rafale sera en Egypte chez lui, ça va lui faire tout drôle…
Pour en savoir plus, et avec un peu plus de sérieux, nous vous proposons la lecture de ces deux articles :
-Contrats d’achat d’avions: ce qui se cache derrière les milliards
-Rafale : l’Egypte sera le premier client export
One Comment
Michel47
Excellent, merci Bruno et "Le Vengeure" ;o)