Qui n’en a pas rêvé? Avoir les yeux tournés vers le ciel, admirer les oiseaux, puis les belles machines volantes et se dire que, nous aussi, un jour, nous pourrions être aux commandes.
retrouvez dans cet article décalé quelques créations de Vangeure Masquait, humoriste de son état, et qui nous gratifie de quelques images que je publie ici avec son accord.
Avant de s’essayer au pilotage, il est bon de découvrir les sensations procurées par le vol. C’est tout naturellement qu’une personne désireuse de se rapprocher de la liberté procurée par la troisième dimension décide en premier lieu de faire ce que nous appelons le “baptême de l’air”.
Attention, humour phonétique 😉
Après le baptême, et si l’ensemble des précédents repas est resté bien au chaud dans son estomac, le candidat au plaisirs de l’aérien prendre certainement une petite leçon d’initiation au pilotage… Avec l’appréhension de tout un nouveau monde, il pense que tout est très compliqué. Pourtant, il n’en est rien.
Le plus dur à gérer pour le futur élève pilote sera très certainement le mental. Et apprendre à gérer les sautes d’humeur de son instructeur. Instructeurs qui sont, ne l’oublions pas, bien souvent bénévoles.
Voulant désormais devenir professionnel, le jeune pilote se trouvera des p’tits boulots qui l’aideront à se gagner quelque argent, et profitera également à l’augmentation du nombre d’heures de vol inscrites sur son carnet de vol, avec toute l’expérience que cela représente.
Et enfin, petit pilote devenu grand, le plus difficile sera de contrer ses pulsions. Seuls les vieux pilotes pouvant se permettre quelques fantaisies.