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Bruno ETCHENIC

Bruno ETCHENIC

Informaticien de profession, créateur du blog portail-aviation en 2012. Ancien rédacteur des actualités du magasine Air Fan

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3 Comments

  1. Fabien Hyvert

    Cela fait des années que j'assiste à la guerre des journalistes: les professionnels de l'aviation, qui sont globalement pro-Rafale, contre les autres… qui ne prennent pas le temps de comparer ce qui est comparable.
    Mais le grand public a pris l'habitude de regarder des chiffres simples et emblématiques: et il apparaît difficile d'accepter que notre merveille nationale ne fasse "que" mach 1.6 alors que les générations précédentes annoncent gaillardement mach 2 et plus.

    Or, si l'on s'en réfère aux tendances du marché, les gros clients que sont les émirats ont manifesté leur désir d'avoir un appareil puissant qui ne soit pas américain: quand l'équipe Dassaut a proposé le très puissant bimoteur mirage 4000, l'Arabie Saoudite s'est intéressée de près à l'affaire, au point de proposer une industrialisation à ses frais car les capacités de vitesse et d'accélération de l'appareil français étant les meilleures du moment (sans électronique embarquée, il est vrai). Et a cause de ce prototype, rejeté par le gouvernement français à cause de sa grande taille, le mirage 2000 a souffert de la comparaison avec ce grand frère fantôme.

    L'histoire se répète t-elle avec le Rafale?

    Clairement oui.

    Les clients étrangers potentiels attendaient l'offre américaine sur le F22 , mais il s'avère maintenant indisponible à l'export. Ils se sont rabattu sur le F35, mais ses performances tiennent dans un mouchoir de poche avec le Rafale, avec moins de capacités air-air et un prix rédhibitoire.

    Maintenant que la concurrence européenne, avec un Eurofighter trop spécialisé a aussi abattu ses cartes, et que l'épreuve du feu a validé le concept Rafale, l'image de l'avion va aller en se bonifiant.

    Si en plus, les élection en Inde ne compromettent pas les accords préliminaires, ce sera un bonus supplémentaire…

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  2. Anonyme

    En fait mach 1.8, même si il est vrai quen temps de paix on le limite à mach 1.6 . Pour l'Inde, je ne pense pas qu'il y ait beaucoup d'inquiétude à avoir, par contre des délais dus à une enquête "anti corruption" de principe après les élections, il y a des chances…

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  3. Eric Trottier

    Respectueusement,

    Samedi, 8 mars 2025

    Le Canada devra acheter le F35 pour ses capacités furtive, ou tout autres appareils possédant des capacités furtive égale ou supérieures et préférablement autre que Américain si l’on tiens conte du climat politique actuel, espérant que le climat politique tendu de l’administration du moment ne reste que temporaire.

    Par contre le Rafale me semble un bien meilleur choix pour ètre distribué en proportion plus importante sur le territoire Canadien. 25 appareils F35 pour 100 Rafales me semble une bonne proportion si l’on tiens conte des plans actuel de développement obligatoire du nord Canadien.

    La maintenance de révision majeure pourrait être faite au Civil, le fédéral devra s’impliquer pour la construction de hangars pour de tels opérations. L’expertise pouvant ëtre rapidement disponible si la main d’oeuvre est réorganisé dès maintenant.

    Des équipes d’intervention de maintenance pourraient être formé pour les interventions de maintenance de rampe.

    Je sais que c’est possible, j’ai déjà été impliqué dans de tels opérations.

    Tenant conte que le Canada est intéressé par le model F-35A conventionel, c’est à dire le model à décolage sur piste conventionel “horizontal’ il n’est pas justifiable de se le procurer en plus grande proportion, c.à.d 1 f35 pour 4 rafales. Seule la capacité furtive du F35 justifie son achat, et l’effet implication obligatoire OTAN et NORAD.

    L’avionique embarqué selon ce que j’en sais plus moderne sur le f35 n’est requise que lors de combat et pénétration profonde en territoire ennemies, et le Canada n’étant pas en guerre ouverte, je n’en vois pas l’utilité stratégique à plus grande proportion.

    Montréal au Québec serait un endroit idéal pour l’implantation d’une ligne d’assemblage pour le Rafale, la main d’oeuvre étant déjà disponible.

    La maintanance révision majeure pourrait être faite à Québec, les terrains pour la construction de hangars et l’aéroports Jean Lessage à YQB étant encore disponible aujourd’hui même en mars 2025. J’y travail présentement comme technicien en aéronautique à l’avionique et à la mécanique.

    Eric
    erictro123@gmail.com
    Spécialisé Avionique E et mécanique M2 licencié

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