Et ce sont des chercheurs d’un collège du Texas qui ont
relevé le défi. La démonstration a été effectuée devant des officiels qui ont
assistés en direct à la prise de contrôle de l’engin non piloté. Celui-ci avait
été lancé avec des points de passage bien définis. Peu de temps après, le drone
a effectué un virage et s’est rapproché du sol. L’expérience a été arrêtée
avant une quelconque casse.
relevé le défi. La démonstration a été effectuée devant des officiels qui ont
assistés en direct à la prise de contrôle de l’engin non piloté. Celui-ci avait
été lancé avec des points de passage bien définis. Peu de temps après, le drone
a effectué un virage et s’est rapproché du sol. L’expérience a été arrêtée
avant une quelconque casse.
La technique utilisée est « relativement » simple.
Elle s’appelle le Spoofing, terme que les informaticiens connaissent bien. Il suffit
d’envoyer au drone des informations en lui faisant croire que la source est
identique à celle d’origine. En l’occurrence, le signal GPS. Lors de son
parcours, le GPS suit une route prédéfinie de plusieurs points définis dans l’espace.
Si les signaux GPS reçu par le drone sont falsifiés, le drone croit toujours
poursuivre sa route sans se douter que sa route est modifiée.
Elle s’appelle le Spoofing, terme que les informaticiens connaissent bien. Il suffit
d’envoyer au drone des informations en lui faisant croire que la source est
identique à celle d’origine. En l’occurrence, le signal GPS. Lors de son
parcours, le GPS suit une route prédéfinie de plusieurs points définis dans l’espace.
Si les signaux GPS reçu par le drone sont falsifiés, le drone croit toujours
poursuivre sa route sans se douter que sa route est modifiée.
Cette démonstration démontre à quel point il est facile de
détourner n’importe quel drone dont le système de navigation est basé
uniquement sur le GPS, et d’en faire un missile potentiel. Cela nous ramène
aussi quelque mois en arrière, lorsque les états unis avaient perdus un drone
RQ170 Sentinel au-dessus de l’Iran
détourner n’importe quel drone dont le système de navigation est basé
uniquement sur le GPS, et d’en faire un missile potentiel. Cela nous ramène
aussi quelque mois en arrière, lorsque les états unis avaient perdus un drone
RQ170 Sentinel au-dessus de l’Iran
. Les officiels étaient embarrassés et
avaient mis en doute la capacité de l’Iran à pouvoir prendre le contrôle du
drone.
Le drone que les chercheurs ont manipulé n’est pas un drone
militaire, mais un drone appartenant au collège il serait donc plus que délicat
d’affirmer que cela peut être aussi simple de le faire avec n’importe quel
drone appartenant à l’armée.
militaire, mais un drone appartenant au collège il serait donc plus que délicat
d’affirmer que cela peut être aussi simple de le faire avec n’importe quel
drone appartenant à l’armée.
Il est pourtant assez simplement possible, mais à un coût
plus élevé de se prémunir d’un piratage des signaux GPS. Il faut pour cela coupler plusieurs moyens de navigation. Comme
coupler le GPS avec une centrale inertielle, ou alors comparer le terrain
survolé avec une carte numérique préenregistrée. Une sécurisation du système
GPS/Galileo/Glonass est aussi un moyen simple, mais comme toujours avec tout ce
qui est transmissions, rien n’est infaillible.
plus élevé de se prémunir d’un piratage des signaux GPS. Il faut pour cela coupler plusieurs moyens de navigation. Comme
coupler le GPS avec une centrale inertielle, ou alors comparer le terrain
survolé avec une carte numérique préenregistrée. Une sécurisation du système
GPS/Galileo/Glonass est aussi un moyen simple, mais comme toujours avec tout ce
qui est transmissions, rien n’est infaillible.
One Comment
Anonyme
c'est comme l'emission de télé qui parlait des pirates informatique et qui disait qu'une seul personne pouvait mettre l'amérique entiere dans le chaos en piratant les systemes informatique des centrales électriques….au pays du dollar et de la technologie a outrance ,un petit virus peut tout bloquer…