C’était en 2010. A cause d’une défaillance interne d’un des moteur Rolls-Royce d’un airbus A380 de Qantas pendant un vol commercial, une explosion s’est produite au niveau de la turbine haute pression, endommageant l’aile de l’avion au point de la transpercer. On est passé à coté d’une catastrophe qui aurait été lourde de conséquences…
Qantas a rendu public le coût des réparations annoncés à 143 millions de dollars, soit 108 millions d’euros. Les allégations des journalistes vont bon train sur le net, en annonçant que le prix de la réparation, réglé par les assurances équivaut de un tiers jusqu’à la moitié de prix de l’avion! (comme quoi il faut se méfier de ce qu’on lit sur le net…)
Plus que le prix de la réparation en elle-même, ce prix doit très certainement comprendre des compensations versées aux passagers dont on ne parle pas assez, mais certains ont dû avoir la trouille de leur vie! Mais aussi la perte engendrée par un avion immobilisé au sol pendant une longue période, et l’inspection de tous les autres appareils. Ainsi, mais c’est à confirmer, le coût annoncé doit comprendre la couverture de toutes les pertes liés à cet incident.