Aujourd’hui, et après quelques jours de relâche qui ne sont pas tout à fait terminés, nous vous proposons de quitter les sujets trop sérieux du monde aéronautique, et nous vous invitons à vous détendre quelques minutes.
Vous le savez tous, l’on ne peut qu’apprendre de ces erreurs. Surtout des erreurs qui coûtent cher!
C’est ainsi que les pilotes se forment dés leur plus jeune âge, et gagne de l’expérience, avec parfois… Un peu de casse.
Vangeure Masquait, officiant sur Facebook, m’a autorisé à publier sept créations de son cru, pour le plus grand bonheur de tous.
Tout jeune déjà, le futur pilote fais voler tout ce qu’il peut (y compris son chat…). mais la première discipline technique le rapprochant de l’univers aéronautique est bien sûr la confection d’un avion en papier. Avec un petit détail subtil et pernicieux. C’est avions sont toujours conçus pour voler, mais jamais pour atterrir. Ainsi ils ne sont pas réutilisables. Et c’est une habitude que certains ont du mal à perdre lorsque viennent leurs premières leçon de PPL.
Et comme un avion en papier, la trajectoire de son monomoteur devient plus qu’aléatoire, surtout lorsqu’il se transforme en zéromoteur. Certains accidents sont aussi l’occasion de rencontres intéressantes… Un vrai lien social, surtout lorsque l’on sait que beaucoup de passionnés sont de véritables Geeks des airs, et ne sont intéressés que par ce qui leur fait lever la tête…
Une fois le PPL en poche, le pilote passera diverses certifications, dont celle lui permettant de voler sur un avion multi-moteur, celui-ci lui offrant une certaine sécurité en vol en cas de la perte de l’un de ses moteurs, histoire d’éviter de nouvelles rencontres… Sauf peu être avec
le milieu sous-marin.
Fort de toute l’expérience acquise personnellement, notre pilote en herbe peut désormais rejoindre les rang d’une compagnie aérienne en vue d’être formé sur de plus gros appareils, et en apprendre les manœuvres de base…
Pour les situations plus complexes, car il y en a, heureusement qu’il existe les séances de formation en simulateurs. Lacunes qui n’apparaissent, et ne sont corrigées bien souvent qu’après de graves incidents, comme celui de l’AF447…
Et après des années de pratique, en ayant été même capable de crasher les ordinateurs gérant le simulateurs (expérience vécue et racontée par quelqu’un qui est loin d’être un inconnu dans le milieu… 😉 ), il est temps pour le pilote d’obtenir ses ailes et de voler sous la protection bienveillante du Dieu des cieux.
Dernière petite précision. Le pilote devenu professionnel en arrive souvent à revendre ses anciennes montures. Mais… Méfiez vous un peu quand même…
Toutes les oeuvres présentés ici sont basés sur des clichés présentant leur propre copyright. Mais les créations de Vangeure Masquait restent sa propriété, et sont soumises à des droits d’auteur.